Abou-Dzarr a dit : “L’Envoyé de Dieu parla en ces termes : “Quelqu’un est venu près de moi de la part du Seigneur et m’a donné cette nouvelle — ou cette bonne nouvelle, — que celui de mon peuple qui, au moment de sa mort, ne commettrait pas le péché du polythéisme entrerait au Paradis.” — “Mais, objectai-je, s’il s’est rendu coupable d’adultère ou de vol ?” — “Même s’il est coupable d’adultère ou de vol, me fut-il répondu.”
Sahih Boukhaei : Funerailles, Tire 23
Assy