Du fait de laver le cadavre et de procéder à ses ablutions avec de l’eau et du lotus (l’identification de la plante est appelée sidr, dont il est ici question, est loin d’être certaine. Pour les uns, c’est le lotus, pour d’autres, le zizyphus lotus, et quelques-uns pensent qu’il s’agit d’un rhamnus.). — Ibn-‘Omar oignit le cadavre d’un fils de Sa’îd-ben-Zaïd de substances balsamiques ; il le porta ensuite et fit la prière sans avoir procédé à ses ablutions. — Ibn-‘Abbâs a dit : “Le contact du musulman ne souille jamais, qu’il soit vivant ou mort.” Sa’d a dit : “Si son contact avait souillé, je ne l’aurais pas touché.” — Le Prophète a dit : “Le contact du musulman ne souille jamais.”
Sahih Boukhari : Titre 23 chap 8, Funerailles
Assy